41% alc./vol.
Distillerie Penderyn, Penderyn, Rhondda Cynon Taf, Pays de Galles
La distillerie galloise Penderyn, qui opère depuis presque 15 ans, produit un whisky du même nom, premier whisky gallois à voir le jour depuis plus d’un siècle…
Ils ont leurs affinages spéciaux eux-aussi, en l’occurence ici le fût de porto.
C’est une distillerie à laquelle le fameux Jim Murray voue un culte presque aussi grandiose qu’à Ardbeg. Et pourtant quand on se prend un verre de Penderyn, généralement on ne peut être qu’en flagrant désaccord.
Comme le disait si bien Perceval, grand chevalier du pays de Galles:
Donc, pour résumer, je suis souvent victime des colibris, sous-entendu des types qu’oublient toujours tout. Euh, non… Bref, tout ça pour dire, que je voudrais bien qu’on me considère en tant que Tel.
Orange rosé tel qu’attendu de sa finition.
Nez:
L’orge ne ment pas et se montre dès le départ, mêlé à un drôle de sucre caramélisé et un lot de fruits rouges bien juteux.
Bouche:
Un fond mélasseux de new make tisse la trame de fond, aidé par les framboises, les mûres, les épices et le chêne.
Finale:
On descend en beauté sur les saveurs et arômes exprimés précédemment.
Équilibre:
Sa finition ne lui apporte que des qualités, et c’est la finale qui en bénéficie le plus. Malheureusement c’est le spiritueux de base qui fait défaut. Quand même le meilleur Penderyn que j’ai bu, à date.
Note: ★★★★★